Randonnée du Lundi 14 Novembre 2016

Le rendez-vous était fixé à TOURLAVILLE, parking de BRICOMARC

Randonnée guidée par DANIEL.
Longueur de l'itinéraire:
                                         Grande boucle:  10,370 Km 
                                         Petite boucle :     7,100 km  
Dénivelée positive cumulée : 95   
Altitude maxi: 74 m
Altitude mini:  01 m

Nous étions 97 marcheurs au départ, dont 48 pour le circuit court et 49 pour le circuit long.
Temps parfait pour une randonnée, sans pluie, ni vent, malgré la menace.
Circuit découverte en ville le long du Trottebec: dépaysant.

 Daniel prêt pour le départ.

Départ des Intermarcheurs 
Le long du Trottebec 

Cols verts en procession 
Canards , enfants de la balle 
 Attroupement.
Le chef de Chœur. 
Canard en mesure. 
 Poule d'eau
Buste d'Adrien GIRETTES 
Que de meneurs en gilets oranges. 
 Guide "terre à terre" ou c'est l'heure de la prière ?
Foyer Léo Lagrange (CLT) 
Guêpe Hargneuse 
Ecole "la Noé" 
Avenue des prairies 
on quitte le Trottebec
 Houx doré fleuri 

 Retour le long du trottebec
 Petite chute d'eau
Au désespoir des peintres 
 Pommes de Cèdre
 Après la restitution du portefeuille trouvé, le sentiment du devoir accompli.
 Mots exclus du dictionnaire d'un bon retraité
 Recyclage ou dépôt vente ??
 Clocher de l'Eglise Notre Dame de Tourlaville
Lavoir Le Toupin
 Brabant double ou charrue réversible
 Lavoir tagué

 Lavoir avec barre fixe, presque poutre
La froide rue 
Sainte Vierge 
 Muret en schiste
Polypode vulgaire 
 Rade de Cherbourg
 La seule montée du jour.
 Pierre percée servant a soutenir le montant d'une barrière
 Cherbourg en Cotentin
l'Oscar Wilde en Gare maritime 
La Montagne du Roule 
 Sur le haut des Caplains

 Passe de l'Est
l'Ile Peée à marée basse 
 Les Mielles



 Digue de Colignon
 Vers le Cap Lévy
 La Croix des Caplains
Fort Central de la grande digue du large, sous un rayon de soleil 
Le fort central est de forme elliptique, et présente une enveloppe à ciel ouvert avec un réduit à deux étages de feux. Dès 1807, le point central de la digue put recevoir 20 canons. Cette batterie ayant été bouleversée par la tempête du 12 février 1808, un décret du 7 juin 1811 prescrivit de la reconstruire, en élevant les embrasures à 30 pieds au-dessus des plus hautes marées ; chaque plate-forme devait être voûtée.
 la Croix Morel
Tunnel du chemin de la Mare 
 vers le Becquet
Fort de l’île Pelée
Situé à l'est de la digue, sur l'île Pelée, cet ouvrage, exécuté sur les plans de les ingénieurs Ricard et De Caux, fut commencé en 1777 et terminé en 1784. On évalue à 4 millions de francs la somme d'argent employée pour sa construction.
Ce fort, qui présente trois étages de feux, peut être armé de 108 bouches à feu. Louis XVI le visitant en 1786, mit, dit-on, lui-même le feu à un gros mortier, pour donner le signal d'une décharge générale. Il est composé par une citadelle de granit de Chausey, une fosse et une enceinte fortifiée.
Cet ouvrage de défense a changé de nom selon les temps (fort Royal, fort National, fort Impérial). La République de 1848 lui donna simplement le nom du rocher sur lequel il est édifié. Depuis 1898, face aux mutations de l'artillerie, une chape de béton de 5 mètres recouvre la face nord de la citadelle1.
Durant la tempête révolutionnaire, on y vit, comme prisonniers, des hommes qui avaient joué des rôles bien différents parmi lesquels Vadier, membre du Tribunal révolutionnaire, Cormatin, major général de l'armée vendéenne, puis le babouviste Buonarotti et Barthélemy Porta. Le fort a reçu entre les deux guerres mondiales une batterie de DCA de 75 mm, d'où les cuves surélevées sur ses dessus. Il fut question d'en réinstaller une, d'origine allemande, de quatre pièces de 10,5 cm SKC/32 dans les années cinquante (travaux OTAN).
Un phare de 25 m de hauteur projette à 10 km en mer ses feux intermittents. 
 Plage de Colignon
Arrêt technique 

Fort des Flamands
Au sud de l'Ile-Pelée. Ce fort tire son nom de ce que, dans des temps fort reculés, il y avait sur cette partie du littoral de Tourlaville, une colonie de Brabançons qui faisaient sur la côte un commerce important. Ce point était nommé Fief-aux-Flamands.
Ce fort n'entrait pas dans le système de défense de la rade ; mais la nécessité de construire pour le service de la marine des magasins à poudre et un établissement de pyrotechnie, aura conduit naturellement à protéger ces magasins et ateliers par un ouvrage fortifié.
Quel que soit le motif de la création de ce fort, il est évident que c'est un obstacle opposé à un ennemi qui, profitant de la haute mer, voudrait s'introduire dans la rade en passant au sud de l'Ile-Pelée.
La forme du fort des Flamands est celle d'une lunette bastionnée ayant des casemates à un seul étage au pourtour et surmontée d'une batterie barbette terrassée. Le nombre des bouches à feu dont peut être armé cet ouvrage est de 30 au maximum.
Le fort des Flamands, avec ses accessoires (magasins à poudre et établissements de pyrotechnie), commencé vers 1845, a été terminé en 1856 ; tous ces travaux peuvent être évalués à environ 3 000 000 francs. 
 Le port des Flamands




Si vous n'avez pas vu la "super Lune", ce soir (ce qui est fort probable),voici la vision de Guy R- , hier soir à Octeville.
La "Super lune", l'occasion d'admirer un phénomène qui n'a pas eu lieu depuis 1948. Et qui, si vous l'avez manqué, ne se reproduira pas avant le 25 novembre 2034.
Plus grosse de 14%, car plus proche de la terre et  30% plus lumineuse.


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