Randonnée du lundi 19 Décembre 2011

Le rendez-vous était fixé à L'Anse de Brick (Commune de Maupertus-sur-mer) , au parking de la plage.


Randonnée guidée par Philippe.
Circuit unique.
Longueur de l'itinéraire: 9,280 Km
Dénivelée cumulée : 276 m
Altitude maxi:    136 m
Altitude mini:       6 m



Avec la pluie et les vacances cumulées, mais "s'aurait pu être pire" !!
Nous étions 15 courageux au départ de cette randonnée.
 Nous avons évité la crème solaire et gardé le teint frais.
Anse de Brick

C'est le départ

Manoir de Maupertus

Le puits dans la cour intérieure

Les dépendances
Ruisseau du Vivier

Le Bois de Maupertus

Bois de Maupertus, avec des Hêtres remarquables

La lande avec  des chemins dignes de Monique

Avec la pluie , le retour des champignons

L'hélico de la marine en exercice incendie au dessus de nos têtes

La lande , altitude 130m, avec un point de vue superbe (par beau temps)


On devine tout juste le phare de Fermanville


Randonnée du Lundi 12 Décembre 2011

Le rendez-vous était fixé à RAUVILLE-LA-BIGOT -parking face à l'église et de la salle polyvalente.


Randonnée guidée par Pierre
Longueur de l'itinéraire:
                  Grande Boucle : 10,840 km
                  Petite boucle :      8,031 km
Dénivelée cumulée : 146 m
Altitude maxi:    135 m
Altitude mini:       85 m




Malgré le temps incertain, nous étions 76 au parking de Rauville (deux ont rebroussé chemin pour quelques gouttes qui menacées; et deux autres sont rentrés pour problème de santé). Au point de séparation 35 personnes ont opté pour le circuit court.


RAUVILLE LA BIGOT:

Histoire

L'origine du mot Rauville vient du nom du propriétaire (probablement Raug, Radulphe, Redi ou Radi) accolé au mot ville qui signifie domaine. Quant au mot Bigot, c'était le nom d'une puissante famille en Angleterre et en Normandie. Un certain René Bigot aurait été l'un des compagnons de Guillaume le Conquérant.


Église (XIIe-XIXe siècles). L'église a été remaniée de nombreuses fois au cours des siècles.

Deux monastères à Rauville-la-Bigot ? Dans un ouvrage de 1902, l'abbé Lebreton indiquait : « Une tradition veut qu'il y ait eu à Rauville-la-Bigot deux monastères, l'un d'hommes, l'autre de femmes. Ce qui donne surtout crédit à cette tradition, c'est qu'il existe dans cette paroisse deux ponts qui se nomment, l'un le Pont-à-l'Abbé, et l'autre, le Pont-à-l'Abbesse, mais on ne découvre aucuns vestiges de constructions qui aient pu servir à une abbaye »


La pluie menace mais ne décourage pas le pèlerin

Première montée et première difficulté pour Georgette qui devra rebrousser chemin accompagnée de Yves.

La Croix Valmont

Autre Croix à l'embranchement de la chênaie et de l'Oraille

Le château de la Chênaie
La première famille noble connue pour Rauville est celle des Symon, seigneurs de la Chesnée au XVIe siècle, dont le château s'est transmis de génération en génération, de famille en famille, jusqu'à la famille de Boisguilbert, actuelle propriétaire. En 1789, la paroisse relevait de quatres fiefs : le fief de La Chesnaye (M. Lucas de Couville), le fief de La Luthumière (Melle de Lordat), le fief de Flamanville (M. de Bruc) et le fief de Belleville (M. de Gerville).
Un peu d'histoire
En 1902, confronté à des difficultés pour écouler le lait produit par les fermes de Rauville dont il est propriétaire,Raymond Le Marchand, châtelain de la Chesnée, décide de créer une laiterie industrielle, démarche nouvelle pour le Cotentin. Autre innovation, il oriente son activité vers la production de fromages, et notamment de camemberts. Le succès est rapide, aussi bien en France qu'en Angleterre, si bien qu'en 1906, un fromager professionnel Henri Claudel vient du Jura prendre la direction de l'usine qui emploie désormais une cinquantaine de personnes. En 1912, c'est Marcel Grillard qui reprend la direction et va bientôt racheter l'usine à son fondateur. Il va peu à peu créer un groupe industriel laitier en regroupant plusieurs établissements voisins (les "Établissements Grillard & Cie" en 1921) et en spécialisant les productions. En 1932, le siège social de la société est transféré à Bricquebec mais l'usine de Rauville reste la plus grosse unité de production du groupe. Ce sera le cas jusqu'à la fermeture, en 1961, de toutes les laiteries au bénéfice de la nouvelle usine Gloria de Bricquebec, spécialisée dans la production de lait en poudre.
Durant la Première Guerre mondiale, 43 Rauvillais sont tués sur les champs de bataille. Un seul d'entre eux est enterré dans le cimetière de la commune. Dès le 17 septembre 1914, une "ambulance" est créée au château de la Chesnée sur proposition de ses propriétaires, M. et Mme Le Marchand. Référencé "HB11bis" (HB pour Hôpital Bénévole), l'établissement de 20 lits accueille des soldats français et belges en convalescence.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Rauville abrite un camp de requis de l'organisation Todt. Originaires de plusieurs pays européens, les travailleurs sont employés sur les chantiers du Mur de l'Atlantique. Par ailleurs plusieurs rampes mobiles de V1 sont aménagées sur le territoire de la commune mais, comme pour toutes les installations du Cotentin, elles ne sont pas encore en état de fonctionner lorsque Rauville est libérée le 19 juin 1944par le 29e régiment d'infanterie de la 9e Division américaine [2].

La Croix aux Geals, avec un drôle de "geai"

Et il parla à ses disciples...

Araucaria araucana ou "le désespoir des singes"



Randonnée du Lundi 05 Décmbre 2011

Le rendez- vous était fixé à Bretteville - parking de la plage, face à l'ancienne gare du tue-vaque

Randonnée guidée par Philippe.
Longueur de l'itinéraire:
                  Grande Boucle : 10,350 km
                  Petite boucle :      7,800 km
Dénivelée cumulée : 390 m
Altitude maxi:    153 m
Altitude mini:       7 m



Malgré la menace de pluie et de vent annoncée, ce fut un bel après midi où 82 marcheurs ont pu s’oxygéner et apprécier de beau paysages, 30 ont opté pour la version courte. 









L'allée couverte de Bretteville-en-Saire est un monument mégalithique de la Manche, situé à Bretteville-en-Saire.
C'est « la plus complète "allée couverte" du département ». Si le terme « allée couverte » est communément admis pour le dénommer, ce monument est plus vraisemblablement une ancienne sépulture, même si aucun ossement n'y a été découvert .
Le monument est classé Monument historique (MH) depuis 1862.