Nous étions 76 au départ, dont 36 pour le petit parcours. Le soleil était également de la partie , avec des chemins propres et sans boue.
Randonnée guidée par PIERRE
Longueur de l'itinéraire:
Grande boucle: 10,1700 km.
Petite boucle: 7,980 km
Dénivelée positive cumulée : 235 m
Altitude maxi: 81 m
Altitude mini: 15 m
Départ place Ste Anne devant l'Office de Tourisme
L'église Notre-Dame de l'Annonciation a remplacé carrément la plus ancienne, un peu plus loin.
Mais le projet ne va pas sans difficultés car l'argent manque. La construction du nouvel édifice doit beaucoup au curé d'alors, l'abbé Paul Lebreton. Non seulement, il offre le terrain, mais il contribue financièrement à la construction.
La conception est confiée à l'architecte départemental Pilloud, qui lui donne un style néo-gothique et un plan en croix latine. La première pierre est posée le 5 juin 1897 par dom Vital Lehodey, abbé de l'abbaye Notre-Dame-de-Grâce. Les travaux sont confiés à l'entreprise des frères Depoux.
L'église est consacrée le 25 avril 1899 et bénie le 29 avril 1900.
Calvaire
Lorsqu'elle commence à subir les dommages du temps, la première église Notre-Dame, construite au début du Xe siècle, n'est pas réparée
Probablement une ancienne école religieuse
Très beau portail à double entrée: charrettes et piétons.
Résidence les Mésanges
Le puits Bourgoise
Ruisseau de la planche es cadets
Perce-neige village Ste Anne
Le Collège Marcel Grillard vu du Valhue
Au Valhue
Reste d'une maison après incendie
Séparation au petit Valhue
Bidons à lait de 20 litres en Almasinium
La voie verte vue du pont du bois du long Bosq
Voie verte à hauteur de la planche es vaches
Ancien tour à piler appelé aussi gadage et gadège. Il s’agit d’une auge circulaire dans laquelle les pommes sont écrasées par une ou parfois par deux meules (dans ce cas on place en général une plus petite devant et la plus grande derrière). Cette meule est appelée la reue. Tour à piler et meule sont soit en bois soit en pierre (granit ou grès selon la région). À l’arrière de la meule une pièce de bois, appelée selon les régions rabot (Sud de la Manche), chas ou chat (Mayenne) ramène les pommes broyées qui ont tendance à se coller sur les parois du tour.
Le vieux Château vu de la voie verte
Gros plan sur le Donjon et son drapeau Normand
Ruisseau L'Aizy
Le Général Jean Léonor Le Marois
Né à Bricquebec le 17 mars 1776, dans une maison située à côté de l’emplacement de la poste actuelle, il était le 6ème enfant d’une famille de 7.
En 1792, à l’âge de 16 ans, il s’engagea dans la garde Nationale ; puis fut admis à l’école militaire des enfants de Mars.
Dans le cadre de sa carrière militaire, il fit la rencontre de Napoléon Bonaparte et ils devinrent amis. Napoléon le choisit comme aide de camp et comme témoin lors de son mariage avec Joséphine de Beauharnais.
Très vite il fut nommé colonel, général d’Empire puis plus tard, anobli par Napoléon I, il devint le Comte Le MAROIS.
Pendant les « Cent Jours », il reprit du service, mais après la seconde abdication en juin 1815, il se démit de ses fonctions et partagea sa vie entre ses terres du Cotentin et Paris où il meurt en 1836.
Né à Bricquebec le 17 mars 1776, dans une maison située à côté de l’emplacement de la poste actuelle, il était le 6ème enfant d’une famille de 7.
En 1792, à l’âge de 16 ans, il s’engagea dans la garde Nationale ; puis fut admis à l’école militaire des enfants de Mars.
Dans le cadre de sa carrière militaire, il fit la rencontre de Napoléon Bonaparte et ils devinrent amis. Napoléon le choisit comme aide de camp et comme témoin lors de son mariage avec Joséphine de Beauharnais.
Très vite il fut nommé colonel, général d’Empire puis plus tard, anobli par Napoléon I, il devint le Comte Le MAROIS.
Pendant les « Cent Jours », il reprit du service, mais après la seconde abdication en juin 1815, il se démit de ses fonctions et partagea sa vie entre ses terres du Cotentin et Paris où il meurt en 1836.
Entrée Principale par la tour de l'Horloge
Le donjon est une énorme tour polygonale de 13 facettes irréguliéres. Construit sur une motte de terre de 17mètres de hauteur, il servait d'ultime refuge aux assiégés et accumulait tous les systèmes de défense de l'époque. La base du donjon ne possédait pas d'ouverture vers l'extérieur mais un caveau vouté et un escalier trés étroit venant du rez de chaussée.
Le rez de chaussée, on y pénètrait au moyen d'une échelle ou d'un escalier volant par la porte cintrée donnant dans la cour, située à 6,30 mètres au dessus de la motte. Cette porte s'ouvrait probablement sur une cuisine, éclairée par de rares et étroites meurtrières dans laqu'elle un escalier tournant donne accés aux étages supérieurs.
Le premier et second étage étaient de même disposition et servaient d'habitation pendant les longs sièges d'hiver.
Le troisième étage renferme une voûte constituée par un dôme surbaissé, coupé par huit portions cylindriques. Il était réservé aux soldats qui assuraient la garde.
La plateforme: Le donjon se terminait par un parapet en saillie supporté par des corbeaux et une série d'arcades en cintre surbaissé. Le chemin de ronde faisait le tour du parapet et traversait la vedette.Le centre de la plateforme était coiffé d'un toit pointu.
Point fort du patrimoine bricquebétais, datant du XII ème siècle, il fut la demeure des seigneurs de Bricquebec depuis les vikings jusqu’à la révolution Française et reste aujourd’hui l’ensemble castral le plus important du département.Edifié sur un léger relief au coeur de la ville, il forme un cercle irrégulier. En plus de ses remparts et de ses tours, il se distingue par son donjon, haut de plus de 20 mètres et remarquable par sa forme polygonale, perché sur une motte circulaire, vestige probable d’un premier château de l’an mil. Le grand bâtiment situé dans l’enceinte, dit salle des chevaliers, constitue un précieux exemple d’architecture médiéviale civile en Normandie
| Le Chartrier |
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La Crypte ou salle basse est formée de trois vaisseaux de sept travées de douze colonnes engagés dans la maçonnerie.Le parti adopté est simple et beau, il fait alterner les colonnes cylindriques et octogonales. Les nervures des voûtes alternent elles aussi: de section trapézoîdale entre les colonnes cylindriques, formées d'un tore bordé de deux baguettes entre les colonnes octogonales. Plus de la moitié de cette salle est encore en bon état. Cette salle basse dépasse du sol et quatres soupiraux ouvraient côté cour.On ne connaît pas son affectation : salle de gardes ou salle de justice, elle supportait une grande salle munie de grandes baies.
Manoir
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